Le 25 novembre 2011, c’était la journée international de la violence faite aux femmes, toutes les radios du matin, comme dans tous sujets marronnier, sont revenus sur cette violence du méchant monsieur contre la gentille dame. Toujours en faisant d’abord le point sur la situation (point accepté par le public) puis en parlant des différentes alternatifs : éloignement du méchant mari, bracelet électronique, les journalistes rivalisant d’imagination à l’antenne. Ce pendant rien ne filtrait sur le contraire.

La violence psychologique faites par des femmes sur d’autres femmes voir également sur des hommes, des hommes affaiblis par des hommes voir d’autres femmes reste complètement inaudible pour la grand public car lémédia soucieux de faire du politiquement correcte ou tout simplement fasciné par la violence faite aux femmes n’en font pas l’écho.

Cette violence abject que je dénonce ici n’est pas prie en compte par les pouvoirs publics. Pire, elle est complétement nié, Tous ceux qui oseraient porter plainte contre ces être qui n’ont de femme que le nom ne trouveraient pas le même écho à leur souffrance et leur malheur que celle communément admise.

L‘obsession de la violence faite aux femmes cache à dessein la violence faite aux hommes fragiles, des personnes fragiles qui se retrouvent être la proie préféré d’être abjecte sans foi ni loi, des êtres qui prennent un plaisir sadique et pervers de vociférer contre leur victime déjà affaiblit afin de satisfaire leur petit égo leur instinct dominateur. Tout est caché comme si notre société était composé uniquement d’hommes forts et de femmes fragile.

Je m’arrête là car comme il y a beaucoup à dire sur le sujet et que cela concerne différent domaine, d’abord la violence des femmes dans le milieu salarié (et notamment dans le cadre de contrat aidés) puis plus généralement par le féminisme. Ce sujet sera traité sous ces deux angles lors de prochains articles. Ici ce n’est qu’un crie pour que la violence des femmes fortes fait aux hommes fragiles ne soit plus un tabou.