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La Délivrance

Pourtant tout avait bien commencé. C’est dans un soleil radieux, par un beau jour de printemps (ou presque) que commença le rêve, tout luisait, tout billait avec éclat, j’avais l’impression d’entrer dans un univers magique où je pourrais à la foi m’extérioriser et évoluer dans un univers à l’abri de ce que j’avais déjà connu.

Ce pendant, petit à petit je voyais ce beau rêve s’écailler, d’abord quelques lueurs sombres envahies la scène, une brise polaire me glaça jusqu’au veine, Le vrai visage de certains m’apparut comme par enchantement, le masque venait de tomber et par stupéfaction je vie une réalité non révélé ou que je me refusais de voir. Petit à petit le carrosse se transforma en citrouille et les beaux chevaux blancs reprirent leur aspect normal. Il fallait bien que je me fasse à l’idée que ce petit monde merveilleux que j’avais pus admirer quelques temps plus tôt n’était plus. Le charme était rompu. Je me sentais alors piégé, l’impression d’être prie dans un guet-apens, une toile d’araignée dans lequel je ne pouvais bouger jusqu’au jour de la délivrance. Petit à petit je voyais les éléments se déchainer, des propos qui pour une personne emprunt d’humanité était bien plus que révoltant, furent prononcés. Que s’est-il passé ? Où était ce petit monde fantastique ?

Le chemin fut long et parsemé d’embûche, quelques éclaircissement parfois redonnaient un peu de vie, un peu de couleur comme sur une vieille télé couleur en fin de vie alternant le noir et la couleur sans jamais se positionner, un problème de chroma. De nouvelles salves montraient le retour des ténèbres, les nuages noirs assombris la scène, le beau temps avait été de courte durée. Je comptais jour après jour la date qui me séparait de la délivrance, du moment ou enfin, je ne devais plus supporter pareil scène. Reprendre un cours normal de ma vie, sans peur, sans outrage, sans méchanceté.

Puis le jour tant attendu arriva, par ironie sans doute, il faisait également beau ce jour là, le soleil brillait de mille éclats, les oiseaux chantaient. Je repris pour la dernière foi, le chemin qui me séparait de mon domicile, durant le trajet je faisais un ouf de soulagement, mes yeux éblouis par le soleil comme si je venais de traverser un long tunnel me donna quelques picotements. Mon cœur battait la chamade comme au temps où enfant, j’entendais le retentissement de la cloche signalant la fin des cours avant les grandes vacances. J’avais les mains moites, une exaltation que je ne pouvais expliquer à personne vue la place que l’on donne aujourd’hui à l’humain et tout ce qu’il représente. Je me réjouissais du fait de n’être plus qu’un simple visiteur si le hasard voulait que je fasse quelques visites.Je rentrais chez moi, pris mon repas entama les démarches nécessaires en ce type de situation et décida de souffler durant quelques semaines

Pourtant je ne demandais rien d’extravagant ou d’impossible à obtenir. Sans doute je suis prisonnier d’une malédiction dans lequel il m’est impossible de me défaire, y a t-il simplement une incompatibilité? Mes questions resteront sans réponse, je peux désormais mettre un point final à cette histoire même si quelques fois, il m’arrive d’en faire des cauchemars. Depuis, j’ai repris mes activités en rêvant qu’un jour prochain, il me soit permis d’exploiter mes compétences avec une équipe dynamique dans un climat serein.

La plénitude, l’équilibre psychologique d’une personne n’est pas négociable quelque soit la situation. On dit que le chien est le meilleur ami de l’homme… Pourquoi l’homme n’est pas le meilleur ami de l’homme !!!

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